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Au matin du monde est une géographie de la mémoire originelle, ou les émois de la chaire se conjuguent avec les éléments. L’épiderme se transforme en un paysage mouvant et émouvant, tout en frisson coloré et en lignes ébauchées...  Des taches, des coulures, des traces parfaitement visible, des couleurs qui s'en donnent à cœur joie, comme dans un grand nombre de ses toiles. Mais là n'est pas la finalité il faut aller au-delà pour voir ce qui est origine, car tel est bien l'enjeu de ce travail.

24 petits formats de 50 x 50 cm qui forment un polyptyque de 3 x 2 m.

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